Point sur la situation sanitaire : réunion du 30/12/2021

Compte rendu de réunion au ministère
En présence du directeur de cabinet, de la secrétaire générale et de la conseillère sociale.

De façon générale, le SNALC rappelle que cela fait 1 an et demi qu’avec beaucoup d’autres, il exige un plan d’investissement pour l’École. Aujourd’hui, les personnels ont des masques tissus, il n’y a presque pas de capteurs et encore moins de purificateurs, les fenêtres ne s’ouvrent pas ou peu dans de nombreuses salles, les cantines n’ont globalement pas changé.

Alors arrêtons de nous dire que la situation est grave, qu’il y a un « raz-de-marée », si l’on ne prend à l’École aucune mesure qui correspond à une situation grave.

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BFM TV – PREAU, le nouveau “comité d’entreprise” de l’EN fait grincer des dents

« Un comité d’entreprise payant et aux prestations inconnues avant de payer, c’est inadmissible ».

L’association loi de 1901 Préau, réservée aux personnels actifs et retraités de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des sports, impose une adhésion payante pour accéder à des offres culturelles.

Jean-Rémi GIRARD, président du SNALC, réagit auprès de l’AFP.

L’association Préau, lancée mi-décembre à la suite du Grenelle de l’éducation pour proposer des prestations culturelles, sportives ou de loisirs aux personnels de l’Éducation nationale, a suscité des réactions irritées d’enseignants, qui déplorent notamment l’adhésion payante obligatoire pour y accéder.

Mais le lancement de Préau a suscité de nombreux commentaires acerbes d’enseignants sur les réseaux sociaux, critiquant notamment le fait que pour accéder aux offres les personnels doivent d’abord payer une adhésion de 10 euros à Préau.

Pour Jean-Rémi Girard, président du Snalc (Syndicat national des lycées, collèges, écoles et du supérieur), “un comité d’entreprise payant et aux prestations inconnues avant de payer, c’est inadmissible”. “On fait croire à un CE alors qu’en fait on demande aux personnels de payer”, là où “un CE est financé par l’employeur”, a-t-il réagi auprès de l’AFP.

Par ailleurs, “les premiers retours laissent penser que le retour sur investissement sera peu important”, car “il y a probablement une question de quantité et de qualité des offres”, estime-t-il. “Je ne crois pas que l’amélioration du bien-être des enseignants passe par 40 centimes de réduction sur une carte Carrefour”, a-t-il déploré.