Le président du SNALC souligne, entre autres, que le protocole sanitaire est difficilement réalisable dans beaucoup d’écoles et d’établissements.
Le président du SNALC souligne, entre autres, que le protocole sanitaire est difficilement réalisable dans beaucoup d’écoles et d’établissements.
Que préconisez-vous pour les enfants maltraités ou souffrant de manultrition au sein de leurs familles ?…
Que faire pour les enfants qui n’ont pas accès à internet à domicile ?…
En ce qui concerne les repas, étant secrétaire de gestion dans un établissement REP qui accueille des demandeurs d’asile et des familles dont aucun des parents n’a de revenu professionnel, sachez que la grande majorité des enfants de ces familles qui ont très peu de moyens et pour qui le fonds social prend en charge la quasi totalité du prix de la cantine sont minoritairement des demi-pensionnaires.
Je rejoins Esther sur un point : bien que l’école soit un lieu où les enfants maltraités peuvent avoir un répit et bien que l’école soit parfois le déclencheur de démarches sociales pour ces enfants, il n’en demeure pas moins que ce n’est pas son rôle. Elle ne fait que participer, tant bien que mal (nos assistantes sociales, trop peu nombreuses, sont très limitées dans leur possibilités d’action), à un parcours long et difficile… L’école n’est pas l’ASE.
Bravo Monsieur Girard, votre discours toujours clair et bien renseigné, donne une image juste des problématiques des enseignants du 1er degré.
En réponse à Nathalie, le principal rôle de l’école est d’instruire. Sait-on réellement la juger responsable des problèmes économiques ou sociaux que rencontre les familles ?