En septembre 2014, à l’occasion de mon arrivée au SNALC, j’exposais dans la Quinzaine universitaire les raisons qui m’avaient fait quitter FO. Écœuré par un syndicalisme politicien rongé par des luttes de pouvoir, où les mandats personnels et les statuts de l’organisation mobilisaient bien plus de temps et d’énergie que ceux qui auraient dû être consacrés aux personnels représentés, j’ai fait le choix du SNALC : c’était alors autant le choix de l’indépendance vis-à-vis des partis et réseaux d’influence quels qu’ils soient, que celui des principes qui devraient guider toute organisation se qualifiant de syndicat : la défense des intérêts des personnels, et non des intérêts personnels.
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