En réponse au préavis de grève lancé par l’intersyndicale sur la première journée des épreuves du baccalauréat le 17 juin, le ministre a déclaré avec aplomb que le mouvement ne serait pas suivi et qu’il avait déjà répondu aux revendications, « notamment sur les rémunérations des professeurs ».
Le SNALC déplore une nouvelle attitude de déni, sinon d’arrogance, à l’égard des enseignants, à qui l’on impose notamment une 2e heure supplémentaire en guise d’augmentation du pouvoir d’achat.
Lire la suite