Le mot du président : en 2021, 21 raisons d’être au SNALC

Parce qu’il est totalement indépendant, qu’il n’est contraint par aucune fédération ou confédération, et qu’il n’a donc qu’un seul discours à porter : le vôtre.

Parce qu’il ne vit que des cotisations de ses adhérents et qu’il ne rend ainsi de comptes à personne d’autre qu’à vous.

Parce qu’il est représentatif, ce qui lui permet de suivre votre dossier et tout ce qui se dit ou se passe au ministère et dans tous les rectorats, en métropole comme en Outre-mer.

Parce que sa voix porte loin et qu’il est capable d’expliquer, d’argumenter, de débattre et de combattre dans tous les grands médias du pays.

Parce qu’il ne pratique pas le clientélisme et qu’il défend tous les personnels, les titulaires comme les non-titulaires, les agrégés comme les AESH, les directeurs comme les conseillers de formation continue… car il est humaniste.

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Point sur la situation sanitaire

Compte rendu de réunion au ministère
Réunion multilatérale du 7 janvier 2021
En présence du directeur de cabinet et de la secrétaire générale du ministère.

Les chiffres

Point de satisfaction sur le maintien de l’ouverture des structures scolaires. Le protocole a pu être accentué par la possibilité de recourir à l’hybridation dans les lycées. 1000 cas par jour en septembre, jusqu’à 4000 cas par jours en novembre, moins de 800 cas remontés par jour depuis la rentrée de janvier.

Le taux de contamination de 0,3% communiqué par le ministre vient des tests en IDF, dans le cadre du travail avec l’ARS IDF (périmètre de 10 000 tests, résultats confirmés). Cette donnée n’est pas un chiffre fétiche : il faut passer à une maille supérieure et amplifier le dispositif. Le ministère n’a pas les chiffres confirmés sur la région ARA (dont le SNALC a pris connaissance dans la presse locale, et qui donnaient un taux de 5% dans les lycées, sur 100 000 tests).

Sur le variant britannique, il n’y a pas à ce stade (mais ça peut bien sûr évoluer) de certitude ou d’élément tangible sur le fait qu’il circulerait davantage chez les enfants ou qu’il les rendrait plus contagieux.

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