Point sur la situation sanitaire

Réunion multilatérale du 27 septembre 2021
Compte rendu du SNALC

En présence du directeur de cabinet, de la secrétaire générale et de la conseillère sociale.

Indication que les indicateurs sont désormais disponibles en open data.

Protocole

En métropole, il y a eu une montée des cas au début, puis descente depuis la semaine passée. Pour le ministère, pas d’explosion : les choses sont maîtrisées.

Sur les territoires ultramarins, une variété de situations. À ce stade, la situation à La réunion et Mayotte est plutôt satisfaisante. En revanche, situation plus préoccupante sur les Antilles et la Guyane. Amélioration dans les Antilles, mais cela reste tendu (notamment au vu de la situation des hôpitaux et de la couverture vaccinale). Aggravation en Guyane, avec les mêmes problèmes.

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Pourquoi être bien apprécié par son DASEN après un rendez-vous de carrière ?

Il y a 3 rendez-vous clés au cours de la carrière d’un PE qui vont être déterminants pour l’accélération de sa carrière et donc de sa rémunération. Le SNALC vous rappelle les enjeux, les délais et le recours possible suite à l’appréciation finale qui vous est attribuée par le DASEN après un Rendez-vous de Carrière.

L’appréciation finale ou avis du DASEN

Une fois le Rendez-vous de Carrière réalisé par votre IEN, vous êtes en attente de son compte-rendu consultable sur SIAE (Interface spécifique au Rendez-vous de carrière consultable via I-Prof), mais c’est l’appréciation finale du DASEN, à la rentrée scolaire suivante, qui est prise en compte pour votre évolution plus ou moins rapide dans la grille des échelons. Cette appréciation finale vous a été communiquée entre le 1er et le 15 septembre 2021, ou le sera au plus tard le 15 octobre. Il vous est donc recommandé de surveiller votre boîte mail professionnelle car vous disposez d’un délai de 30 jours à partir de la réception de l’appréciation finale pour faire un recours, si vous souhaitez en demander la révision.

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Direction d’école : quand la politique s’en mêle au plus haut niveau de l’État

L’annonce d’Emmanuel Macron sur la possibilité offerte à quelques directeurs d’école de pouvoir recruter leur propre équipe d’enseignants a surpris et choqué toute la communauté éducative et particulièrement le SNALC. Mais à quelques jours du retour de la proposition de loi RILHAC à l’Assemblée nationale, cette annonce est-elle vraiment si surprenante ? Pour mieux comprendre, il convient d’effectuer un retour en arrière.

Toujours plus de tâches (pour plus d’économies…)

Depuis 50 ans, les tâches se sont additionnées, aucune réelle mesure n’a été prise pour les alléger. La simplification administrative pourtant vantée par de nombreux ministres n’est plus qu’un vœu pieux que l’informatique n’a absolument pas résolu, bien au contraire.

Eté 2017, le nouveau gouvernement fraîchement élu décide de supprimer les aides administratives des écoles au motif non avoué mais pourtant clair : faire des économies budgétaires.

Ces personnels rendaient pourtant de grands services aux directeurs, surtout dans la gestion du quotidien. Rappelons que les directeurs font face à des responsabilités croissantes et à de multiples missions : organisation et animation des réunions ; intégration et suivi des stagiaires ; suivi des enfants en difficultés (PPRE, PAP, PPS etc.) ; répartition des moyens d’enseignements ; veiller à la sécurité ; discussion avec les différents partenaires de l’école ; enseigner ! La très grande majorité des directeurs ne sont pas déchargés et pourtant la liste de leurs missions est encore beaucoup trop longue.

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