L’automne s’annonce mal pour les retraités : non seulement ils ont dû, à la fin du printemps, encaisser la perspective de ne pouvoir partir à la retraite que deux ans plus tard que prévu, mais ils risquent maintenant de subir des menaces sur le montant de leur pension. N’a-t-on pas parlé de ne pas tenir compte de l’inflation au 1er janvier 2025, mais seulement à partir du 1er juillet 2025, avant que le ministère ne revienne à des dispositions plus raisonnables ?
En fait, il faudra bien attendre le vote du budget au plus tard le 31 décembre 2024, pour être fixé sur leur sort.
Or, la presse n’a cessé de prétendre que les retraités ont un niveau de vie supérieur à celui des actifs, à la grande colère du SNALC.
Lire la suite