Souffrance au travail : AVS-AESH, vous avez la parole !
Au sein de l’Éducation nationale, beaucoup de personnels ressentent des souffrances liées au travail, à divers degrés. Stress, solitude, harcèlement, burn-out …, la vie au travail n’est pas toujours un long fleuve tranquille.
L’agent en souffrance, en cherchant à trouver les causes de son mal-être, se remet trop souvent en question, ce qui conduit à un sentiment de culpabilité. Et pourtant, on se rend compte que, dans la grande majorité des cas, cette souffrance au travail est imputable aux conditions de travail, à l’institution, et non à la personne.
Les résultats de cette enquête nous permettront d’alerter l’institution et de faire des propositions de nature à améliorer vos conditions de travail.
Nous vous remercions par avance de votre participation. Une synthèse de cette enquête sera disponible ultérieurement sur notre site.
Lien : accéder à l’enquête en ligne
contact : aesh.snalc@gmail.com
La farce de leur indépendance
En septembre 2014, à l’occasion de mon arrivée au SNALC, j’exposais dans la Quinzaine universitaire les raisons qui m’avaient fait quitter FO. Écœuré par un syndicalisme politicien rongé par des luttes de pouvoir, où les mandats personnels et les statuts de l’organisation mobilisaient bien plus de temps et d’énergie que ceux qui auraient dû être consacrés aux personnels représentés, j’ai fait le choix du SNALC : c’était alors autant le choix de l’indépendance vis-à-vis des partis et réseaux d’influence quels qu’ils soient, que celui des principes qui devraient guider toute organisation se qualifiant de syndicat : la défense des intérêts des personnels, et non des intérêts personnels.
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