Archives de catégorie : AESH

Loi Blanquer : toujours ni statut, ni reconnaissance en vue,
 Les AESH en colère poursuivent leur mobilisation !

Depuis plusieurs semaines, les personnels de l’éducation nationale se mobilisent contre la loi Blanquer dite de l’École de la “confiance” et contre la loi de transformation de la Fonction Publique.

Pour les accompagnant.es d’élèves en situation de handicap (AESH) aussi, suite à la “concertation” ministérielle sur l’école inclusive lancée en octobre, ce projet de loi adopté en première instance à l’Assemblée et étudié mi-mai au Sénat, présage des dégradations des conditions de travail des AESH.

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AESH : Assez de bonnes paroles, des actes

Le SNALC a pris connaissance des annonces récentes de Jean-Michel BLANQUER, ministre de l’Éducation nationale, visant, selon lui, à améliorer la situation des accompagnants d’élèves en situation d’handicap (AESH) :

  • L’accélération du plan de transformation des contrats aidés précaires en contrats pérennes AESH
  • La mise en place d’une formation de 60 heures annuelles pour les AESH
  • La mise en place de Pôles inclusifs d’accompagnement localisés (PIAL)
  • La pleine reconnaissance des AESH comme professionnels à part entière des équipes éducatives

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AESH : Un peu de courage politique !

Pour le SNALC, le projet de loi relatif à l’inclusion des élèves en situation de handicap, même s’il aurait mérité d’être travaillé, avait le courage de dénoncer une réalité trop souvent reléguée au second plan : la précarité insoutenable de nos collègues AESH obligés de prendre deux voire trois emplois pour survivre. Ces collègues en souffrance sont usés par ce système qui les infantilise et les pousse à démissionner aux portes du contrat à durée indéterminée qu’ils ont attendu au mieux 6 ans, au pire 11 ans.

Ce projet avait le courage de proposer un statut unique d’« aidants à l’inclusion scolaire », dépendant du ministère de l’Education nationale, avec une rémunération à la hauteur des missions, une véritable formation financée par l’État et avec des différenciations par diplôme en fonction des spécialisations. Il offrait également aux collègues la possibilité de passer le BAFA.
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