Petit déjeuner en paix

Lancé le 23 avril, le «petit-déjeuner à l’école» a reçu un accueil assez mitigé : salutaire pour les uns, il déresponsabilise les familles pour les autres. Pour le ministre, «On n’étudie pas bien si on a le ventre vide». Pour le SNALC, ce dispositif pose des questions à la fois organisationnelles, pédagogiques et sociales.

Cinq enfants par classe viennent étudier avec le ventre vide. Pour diverses raisons allant de difficultés d’ordre social au manque d’appétit lorsque l’on est levé très tôt le matin. La mesure lancée par le M. BLANQUER a donc pour objectifs de donner des habitudes aux enfants et d’être incitative à l’égard des familles. Pour ce faire, deux petits-déjeuners seraient pris à l’école chaque semaine.
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