L’écriture inclusive semble chaque jour gagner du terrain, en particulier dans le monde de l’Éducation nationale. De plus en plus d’écrits, y compris des mails de collègues, ont recours à ce qui est présenté comme une grande avancée sociale. Pour le SNALC, l’écriture inclusive est une fausse bonne solution, pour plusieurs raisons.
D’abord pour une raison pratique : avec l’écriture inclusive, la fluidité de la lecture relève de la gageure parce qu’elle est perturbée par les fréquents ajouts de signes indissociables de cette pratique, ce qui hache les mots et la structure de la phrase. Exemple : tou.s.tes les collègues seront défendu.es pour qu’ils (elles) soient sûrs.es qu’ils (elles) ne seront pas mis.es de côté…
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